GRILLE
ment attaehees par des rivets, mais dependent de la structure princi-
pale, puisque les montants ou les traverses les arretent d'une rnaniere
sure par des tenons. Les montants sont de fer carre de 0m,015, les contre-
forts de fer de 0"',03 sur 0'",025, les traverses de fer de 0"',O3 sur 0'202.
Les derniers exemples de grilles que nous venons de donner indi-
quent, la plupart, des couronnements plus ou moins riches. En effet,
les grilles du moyen äge en posseduient toujours, ä moins qu'elles ne
fussent disposees pour servir d'appuis. Ces couronnements prennent
parfois, il dater du xv" siecle, une grande importance, et ne sont que la
prolongation decoree des montants depassant la traverse superieure.
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Dans les baies de la clotuve du chmur de la cathedrale de Toulouse,
on remarque des grilles dormantes, tres-sinuples d'ailleurs, fabriquees
au xve siecle, et dont les eouronnements remplissent les trilobes d'une
aventure de pierre. Voici (fig. 15) l'un d'eux. Les grilles dormantes des
fenetres de ehäteaux ou de mniso11s sont presque toujours terminees
par des (_50L1l'0llIlÜl11ÜlilS que l'on peut considdwrer comme un epuuouis-
semant des montants. Nous (fiterons ici les grilles des fenetres du ehäi-
teau de 'l'zu'ascon (xvc siecle). (les grilles se composent de montants
v1. 10