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brises a avec la nieme ouverture de compas n. Or, les voütes normandes 
elevees vers 1220 presentent souvent une disposition telle, que tous 
les arcs, arcs ogives, zircs-doubleaux, formcreis, archivoltes, sont 
traces ä l'aide d'un IÜÜIIIB rayon. 
Ainsi (fig. 13), soit la projeciion horizontale d'une de ces voütes, l'arc 
gänäpatguP est l'arc ogive, qui est un plein cintre rabattu en ABG. 
Uarc-doubleau AC, rabattu en AGS, est trace au moyen du rayon ab 
egal au rayon OC. Lkirc-doubleau de recoupement des arcs ogives DE, 
1.2 
  ä , F  X. 
    
 
 gxl X N 
f I Xxf f fx 1 
  Ägfff" 1x 
rabattu en DEF, est trace de meme, au mcrven du rayon cf egal nn 
rayon 0G, sa clef F elant naturellement au niveau C de la clef (les ares 
ÜfÄiVCS- SOÜ ZK, 1m, lläpfliäseur des piles, les arcs forrnerels elant com- 
pris entre K1. Ces arcs formereis rabalius en Klp sont encore fraces au 
moyen du rayon rt egal au rayon 0G, leur naissance etant relevee de 
K en V, si l"on veuf que les elefs des formerels ülleignent ln nivenn des 
clefs (les arcs ogives. Si ces forinerets servent (Farehivolies aux baies 
divisees par un meneau, ce sera encore le rayon nq egal au rayon 0C- 
qui servira a tracer les arcs diviseurs de la fenelre. 
Sauf pour les clefs, Fepure d'un seul claveau d'arc suffisait alors pour 
izliller les panneaux de tous les arcs des voütes, archivoltes, baies, etc. 
Et (voyez le trace G) si nous divisons un diametre d'arc ogive en quatre