(GARGOUILLE
mais tailloos däjä par des mains habiles (figB). Celles qui sont placäes
il lexträmitä des caniveaux des arcs-boutants de la nef, et qui sontäpeu
pries de la rnäme äpoque, sont däjä plus longues, plus sveltes, et soula-
gfres par dos corbeaux qui ont permis de leur donner une träs-grande
Saillie en avant du nu des contre-forts (fig. 3).
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A la sainte Chapelle du Palais ä Paris, les gargouilles sont plus 61an-
cees, plus devoloppees : ce ne sont plus seulement des bustes d'ani-
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maux, nmis des animaux entiers attaches par leurs pattes aux larmiers
superieurs: leurs tetes se detournent pour jeter les eaux le plus loin
possible des angles des contre-forts (fig. 4). Quelques-unes de ces gar-
gouilles sont exfidennnent sculptees par des artistes consommes.