MAISON
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tiers au courant de certains prejuges qui llattent l'amour-propre et
dispensent dWä-tudier bien des questions ardues, en ce qu'elles deman-
dent du temps et des recherches. Combien de fois n'a-t-on pas dit ou
ecrit, par exemple, que les maisons des villes du moyen äge ne sont
que de pauvres bicoques, tristes, petites, obscures, inhabitables enfin"?
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Certes, les vieilles maisons de Saint-iknttmiii, de Cordes, de Saint-Yrieix,
de Monpazier, de Toulouse, de Perigueux, (YAHW, de Nlontferrand,
de Cluny, de Provins, de Bourges, de Laon, de Beauvziis, de Reims, de
Soissons, de Dol, de Caen, de Ghartres, de Dreux, (TAngeLs, etc., ne
sont que de petits edifiees, si on les compare a nos hotels modernes
de Paris, de Lyon ou de Rouen : mais il ne faut pas Ollhliül" que la plu-
part de ces maisons anciennes, debout encore, n'existent que dans des
villes singulierement dechues, que dans des villes du (leuxierne ou
troisieme ordre, abandonnees aujourd'hui, alors riches et prosperes,
quoiqu'elles fussent peu importantes si on les compare aux grands
centres de population de la meme epoque; que ces vieilles maisons,
ChampoIlion-Figeac, Droits et zasages, 1
partage ces preijugäs, on ne doit pas
' Voyez l'ouvrage de M.
d'une ärudition profonde
räpandus dans le vulgaire.
Ifäjä ciläz. Si un homme
skätonner de les vou-