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(voy. Hg. 8), sur deux rangs A ct B, formaient deux chemins de bois
sur lesquels citait posee une grue dont les roues A, dunplus grand
diametre que celles B, permettaient la manoeuvre circulaire. Le nez G
de cette grue depassait l'aplomb de la grande corniche D ä Pexterieur.
Gomme sur les talus de cette corniche skälcvaient quatre pinacles P,
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il fallait que la fleche de la grue put se relever pour passer au droit
de ces pinacles. Cette Ileehe pivotait donc sur un tourillon G, et etait
ramenee ä son inclinaison, puis arretee ä la queue par la traverse F et
par un boulon I. Le delail K presenle cette grue de face du cote du
treuil. Mais il fallait que les charpentiers pussent, 51 Fexlerieur, assem-
bler les pieees que cette grue pechait et enlevait par les ouvertures des
creneaux. Un echafaud en bascule, indique en L en profil et en L' de
face, permettait dkmvoirun premier pont M au droit de chaque creneau
et au niveau des moises basses du hourdage, et un second pont N en
COIIÜPO-bfl-S, POUF DOUVOiP poser les patins sur les consoles et assembler
les poteaux inclines dans ces patins. Des ouvriers äeheval sur le som-
met des talus de la corniche pouvaienl facilement ZISSGIIIlJlBF les cho-
vrons entre eux et regler le plan de chaque ferme. Ainsi, de Fexterieur
du donjon, loperation entiere de la pose des hourds pouvait se faire en