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qui nous montre comme ces sculpteurs ont interprete la feuille du
Figuier, ne donne deux bords absolument ponderes que sur le mem-
bre central (le la feuille; quant aux six autres menlbrcs, ils sont galbes
suivant le principe naturel. Leur imitation de la llore est donc parfai-
tement intelligente; l'artiste sait faire les sacrifices necessaires : d'une
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plante, il produit une (BÜVPG d'art qui lui appartient, bien qu'elle con-
serve et fasse ressortir menie les caracteres distinctifs, les qualites, les
allures de l'objet naturel. La feuille sculptee que nous donnons ici a
une physionomie beaucoup plus caracterisee que la feuille de l'arbre.
Elle est (au point de vue de l'art, sinon de la science) plus feuille de
Figuier quo n'est la vcriiflhle-
ll est rare que les sculpteurs du X1110 siecle prennent pour modeles
des feuilles aussi grandes d'echelle que (telle-ci ; habituellement, ainsi
que nous l'avons ditplus haut, ils vont chercher leursinspiratimlä dans
les vegetaux les plus petits, parce que ceux-ci possedent des formes
plus simples, des contours plus cnergiques, un modele plus puissant.
On a pu voir, par les exemples deja donnes, quel parti Porneinaniste
peut tirer de ces plantes qui selevent a peine au-dessus du sol. Ce qui