M [ DONJON ]
descendait au terre-plein U commande par des meurtrieres perceeS
dans les couloirs S, S'.
De tout ceci on peut conclure deja que la garnison du dOTIJOH Hall
double dans les deux etages (premier et second); que ces fleuX fPHC-
tions de la garnison nlavaient. pas de communication directe entre
elles ; que, pour älilhlir cette communication, il fallait monter au [TOIT
sielne etage occupe par le commandant, et que, par consequenfy S1
l'un des cotes du donjon etait pris, la garnison pouvait. se reunira la
partie superieure, reprendre l'offensive, ecraser Fassaillant egare iill
milieu de ce labyrinthe de couloirs et d'escaliers, et regagner la partie
dejii perdue.
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Le troisieme etage (fig. 4) est entierement detruit, et nous ne pOU-
vons en avoir une idee que par les dessins de 1708, reproduits dans
l'ouvrage de M. Devillek Ces dessins indiquent les mächicoulis qul
existaient encore ä cette epoque dans la partie superieure, et la
disposition generale de cet etage, converti en plate-forme dAepwS
le xve siecle pour placer de l'artillerie ä feu. M. Deville ne parait paS
' Histoire du chdleau (Fflrques.
Roucn,
1839.