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Or, voici (fig. 2') des feuilles de Fougere au moment on elles com-
mencent a se developper, a sortir de leur tissu cotonneux. Il n'est pas
besoin, pensons-nous, de faire remarquer, dans ce chapiteau, l'inten-
tion evidente de l'artiste ; il a certainement voulu se servir de ces for-
mes puissantes donnees par ces bourgeons de Fougertw, de la Fougere
qu'on trouve. partout, en France, sous les grands bois. Le sculpteur
ne s'est inspire ni des traditions romaines, ni des ornements byzan-
tins : il a cueilli un brin de Fougere, l'a examine curieusement, s'est
epris de passion pour ces charmantes productions naturelles, puis il
a compose son chapiteau. Observons a notre tour cette figure 2 ; nous
aurons l'occasion d'y revenir. (l'est 1a, pour cette epoque. disons-le
encore, un fait isole. Mais bientot tecole des architectes laiques seileve,
s'empare de toutes les constructions, particulierement dans le do-
maine royal. Des ses premiers pas, on sent que cette ecole laique veut
rompre avec les traditions d'art (les moines. Il y avait petit-Pitre de l'in-
gratitude dans le procede, puisque cette ecole setait cleväe Sous les
voütes des cloitres; mais cela nous importe peu aujourd'hui. Gomme