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pretent donc, sans trop chercher ä imiter servilement la nature, ces
formes vegetilles; ils en saisissent le caractere puissant, vivace, et com-
posent, des fleurons comme celui-ci (fig. 2), qui date des dernieres
annees du _xue siecle et provient des gäbles inferieurs des contre-forts
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de la cathedrale de Paris (cote nord). Cette forme simple ne leur parait
pas presenter une silhouette assez decoupee, ces artistes recourent
encore ä la nature, et ils ouvrent davantage les folioles qui accom-
pagnent le pistil (fig. de maniere ä obtenir un epanouisselnent.
Ou bien encore, un peu plus lard (vers 1220), ils recherchent l'imita-
tion des bourgeons (fig. 42); ils les dissequent, ils en enlevent cer-
' Des gäbles de contre-forts des tours de la cathddrale de Paris,
f De la fagade de Fäglise abbatiale de Väzclay.
V.
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