DONJON
porte G träs-ätroite, qui donne enträe dans une cage (i'escaliei' conie-
nant un degrä central se dätournant ä main gauche, formant une "rävo-
lution compläte, et arrivant ä un palier I, d'ail, par une 11111111610111"-
nant ä droite dans l'äpaisseui' du mur, on monte au second ätage, ainsi
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que nous allons le voir. Les deux salles liasses J, J, n'avaient. aucune
communication (lirecte avec le dehors (le couloir L ayant ete ouvert
au xve siecle) et ifetaient meme pas en communication entre elles.
On devait descendre dans ces deux salles basses par des escaliers ou
echelles passant par des trappes menagees dans le plancher du premier
etage. Ces salles etaient de veritables celliers propres a (vontenir des
provisions. En K, est un puits de plus de 80 inetres de profondeur
et dont l'enveloppe est maconnee jusque la hauteur du plancher
du second etage. N'omettons pas de signaler l'escalier M, taille dans le
roc (craie) et descendant par une pente rapide jusqu'au fond du fgssä
exterieur. Signalons aussi l'escalier N qui passe par-dessus le couloir
d'entree B; son utilite sera bientot demontree.
Voyons le plan du premier otage (fig. 2). On ne pguvaif, arriver ä cet
ämge que par l'escalier a vis 0, communiquant de ce premier etage au
second, cest-ä-dire qu'il fallait descendre au premier etage apres eire
monte au second; ou bien, prenant l'escalier N (mentionne tout a