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civils et (les l1aI)i1atio11s.Nous voyons que dans certains cas ils conser-
vent la tradition romane pure, dest-ä-dire qu'ils ouvrent dans un mur
une arcade plein cintre, et posent un linteau sous ce cintre pour rece-
voir un chässis carre, comme dans une tourelle (lependant de Feväche
de Soissons (fig. [commencement du mue siecle]; ou bien que,pour
de petites pieces, ils adoptent des haieslarges,reluliveinent il leur hau-
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teur, separces par un eleganl. meneau central, couvertes exterieures
nient par un linteau (lecore (Tarcatures, et formant intcrieurement. un
ebrasement termine par un berceau de decharge et muni d'un banc B
(fig. Ici le mcneau est renforce interieurement. d'un appendice A
servant (l'accoudoir, et recevant les targettes de fermeture des deux
chässis (voy. l'article BANC, fig. 4). Nous voyons encore que pour eclai-
rer des pieces assez hautes entre planchers, ils disposent les fenetres
de nlanicre a pouvoir n'ouvrir a la fois qu'une partie de leur surface:
alors le ineneau central est (livise par une traverse (fig. 36); la baie
porte quatre chässis mobiles, ceux inferieurs slouvrant pour regarder
dehors, et ceux supiärieurs pour donner de l'air dans le haut de lapiece,
toujours avec des renforts aux meneaux pour recevoir les targettesl
Cependant on (leniandait aux architectes, vers le milieu du XIIIE siecle,
des fenetres plus grandes pour eclairer les habitations ou les edifices
publics; a mesure que les moeurs sadoucissaient, on voulait des maiSOIIS
l D'une maison de Flavigny
a D'une maison de Flavigny
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(G0te-d'0r), milieu du X111" siäcle.