FENETRE
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au plus, de se pencher sur l'appui.0n renonqa cependant, au xmesiecle,
aux barres se logeant. dans Fepuisseur des murs, firees derriere, et, au
lieu de volets pleins ou perces de petits ajours, on elablit des chässis
de bois presque entierement vitres.
Voici (fig. 33) une des fenätres du commencement du xme siecle,
percees dans les anciens bätiments dependants aujourd'hui de la cita-
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delle de Vei-dun. C'est encore le systeme roman. Le linteau, deehapgg
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pur elt?drll iise del ebrasenienl, quiappiiiiiit fiu (1611015, estajoure
dun_ qua 1e euille yitre dormant; mais les deux ClHiPeS-vgigg sont
garnies de chassis vitres roulant sur des gonds scelles dans les feuil-
lures, et maintenus le long du meneuu par des targettes S7enf0ngant
dans une gache B de pierre reservee ä l'iiiterieui' de ce nieneau. L'as-
prit ingenieux des architectes laiques du X1110 siecle allaiL trouver des
dispositions nouvelles et Li-es-variees pour les fGDQlPCS des ediüces