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FENETRE
traceA nous montre la fenätre 51 Fextärieur, et, celuiB sa coupe. Sous
le berceau plein cintre E de Febrasement est bande un arc D dont les
sommiers reposent sur les extremitoes d'un linteau G et sur deux pieds-
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droits. Un meneau soulage ce linteau au milieu de sa portee. L'espace
compris entre le linteau G et l'arc D etait vitre a demeure, et des volets
pleins, brises, barres, fermaient la baie derriere le meneau. Plus tard,
lorsqu'on vitra les fermetures des fenetres, on conserva encore ces
chassis dormants au-dessus de la partie ouvrante. Cette tradition se
maintint en France jusqu'a nos jours, puisque dans beaucoup d'habi-
tations du dernier sicclc on voit encore des fenetres avec des jours
(Fimposte qui souvent etaient (iormants. En effet, lorsqu'on veut
regarder par une fenetre, il est assez incommode. d'ouvrir un chässis
de 3 ou 4 metres de hauteur, difficile souvent a manoeuvrer, que l'hu-
midite fait gonfler ou la secheresse retrecir, et qui laisse passer en
hiver un volume d'air plus considerable qu'il n'est besoin. Il faut
dire aussi que les pieces destinees a l'habitation etant beaucoup plus
vastes que celles de nos appartements, on ne sentait pas le besoin,
comme aujourd'hui, de renouveler l'air aussi souvent. Les cheminees,
larges, faisaient 11n appel suffisant de liair exterieur en hiver, pour
qu'il ne futpas necessztire (l'ouvrir les fenetres, et en ete on obtenait
de la fraicheur en les tenant fermees. Ce netait que lorsqu'on vou-
lait ifegarder dans la rue qu'on entre-bäillait les chässis ouvrants d'une
petite dimension et permettant a une seule personne, ou il dGUX 101171