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taienl; en communication deux pieces superposees. L'escalier de la tri-
bune de Feglise Saint-Maclou de Rouen (XVIÜ siecle), celui du choeur de
la cathedrale de Moulins (xve siecle), fournissent de tries-jolis exemples
de ces sortes de vis prenant jour sur les interieurs.
Nous avons vu comment les marches des vis forment naturellement
plafond rampant par-dessous les degres; comment ces marches sont
flelarrlees on simplement chanfreinees, ou meme laissees a angles vifs,
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donnant ainsi comme plafond la contre-partie du dcgre. Mais il arri_
vait qu'on etait parfois oblige (Telablir des rampes droites ou circu-
laires a travers des constructions massives, dans les chateuux, dans les
tours. Les couvertures de ces rampes avaient alors un poids considä-
rable aporter. Si ces rampes etaient larges (comme le sont en general
les descentes de caves dans les (zhateaux), les architectes nosaient pas
fermer ces escaliers par des plafonds rampants, composes d'une suite