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(Joqä-lnljfglägvTllxz). Ces dallagesuänne Qdate (ancienne, sont assez peu
heaucouh- d 11 en tronfendes debns d'une epoque plus recente dans
ces ancignse (Pffjtesffgllses _tr0p pauvres pour ayolr pu 1'en1placex'
me Sipvlp (fnplgüa. Leghne dOrlnus (Marne) possede un flnllage du
de cote; eft dlo- T11), C01I1p0se de petlts carreauxlde marbre nolr de 0'544
sorte de m1? alales barlongues blanche; posoegs de faconf; Ügllircr une
sont jama; bon effet. Ces derss1ns, s1 snnplen qu xls solent, ne
dur l S_ x11 ignures: Les dnllages _et.a1ent enlployesnon-sgulfnnent
( b es CdIÜCPb pubhcs, mans auss1 dans les habltatlons PPIVCCS. Lu
plupart des grand salles des chäteaux, des eveches, des hotels de ville
elaient pavees de grandes dalles de pierre dure. Souvent meme, dans
les chäteaux, ces dallages etaient decores dincrustations de pierres de
couleur ou de mastics, ou encore les dalles alternaient avec les stucs
peints. Dans un compte de la construction du chäteau de Bellver,
dans File Majorqueh il est question des pavages de cette habita-
tion seigneuriale, a fails de stucs composes de chaux vive, de plätre
et de grandes pierres melangees de couleur; le tout sibien poli, qIfOH
eüt pu croire ces aires composees de marbre et de porphyre v- Les
anciens avaient. compris l'importance des pavages comme moyen de
decorer les interieurs des edifices, et le moyen {lge ne fit que survre
et perpetuer cette tradition. En effet, il faut avoir perdu le sens deco-
' Ce compte commence au1" avril 1309
anncäe. (Voyez les Illelfmges gdogr. et hist.
et se termine il la {in de däccmbre de la mäme
de Jovellanos, fädit, de 1845. INIaLh-id, t. III.)