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Voici (fig. 3) un de ces engins que nous avons essaye de rendre pra-
tique, car les traces que nous donnent les peintures anciennes sont
d'une naivete telle qu'on ne doit les considerer que comme une indi-
cation de convention, une facon Jhieroglyphe. En A, on voit le plan
de l'engin, dont le treuil horizontal B est dispose de maniere a pouvoir
enrouler deux cäbles. Le profil D de cet engin montre l'un des deux
plateaux circulaires G du plan, lesquels sont munis, sur chacune de
leurs faces, de huit dents mobiles, dont le detail est presente en G de
face et de profil. Les grands leviers E sont ä fourchette et embrassent
les plateaux circulaires ; abandonnes a eux-memes, ces leviers prennent
la position KL, venant frapper leur extremite sur la traverse L, a cause
des contre-poids I. Alors les dents M, tombees sur la partie inferieure
de leur entaille, par leur propre poids et la position de leur axe, oppo-
f Les engingneurs du moyen äge nüätaient pas embarrassäs pour faire mouvoir düänormes
charpentes toutes brandies; nous en aurons tout ä l'heure la preuve.