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letgennemis de glisser sur les parois des äbrasernents et de frapper
l? Plfäce. Il va sans dire que ces redans sont promptement dälruits par
larnllene des assifägeants et mäme altäräs par le souffle de la piäce.
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Des Pepoque de Franqois l", on en vint, lorsqu'on voulut armer une
forteresse, ä couronner les boulevards et les courtines par des talus
de terre melangee avec des brins de bois ou du chaume. En cas de
Siäge, On ouvrait des embrasures dans ces talus (fig. 10), et l'on main-
tenait leurs parois verticales par des madriers. Cette rnethode est
encore suivie de nos jours. On augmentait au besoin le relief du parapet
par des gabionnades ou des sacs ä terre. Quelquefois meme ces para-