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Lebeufl decrit ainsi le dortoir des religieux de l'abbaye du Val-
Notre-Dame, dependant du doyenne de Montmorency : a Le refectoire
a est un assez petit quarre; il est au-dessous du dortoir, qui est tres-
a clair, et dont la voüte est soutenue par des colonnes ou piliers
a anciens delicatement travailles, ainsi qu'on en voit dans plusieurs
(f autres dortoirs de l'ordre de (liteaux construits au X1110 siecle ou au
(r xiv". v Il ne faut pas croire que les dortoirs des religieux fussent dis-
poses comme les dortoirs de nos casernes ou de nos lycees. Ces grandes
salles etaieilt divisees, au moyen de cloisons peu elevees, en autant de
cellules qu'ily avait de religieux; ces cellules ou stalles contenaient
un lit et 168 Hlellbles les plus indispensables; elles devaient rester
ouvertes, ou fermees seulement par une courtine
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Au XVIe siecle, tous les ordres religieux voulurent avoir des cellules
ou chambres particulieres pour chaque moine, ainsi que cela se pra-
Ücllle dans nos seminaires. Les mämes habitudes furent observees dans
l'es couvents de femmes. Des le xne siecle cependant, les clunisiens, qui
Blfllerlt des gens aimant leurs aises, avaient deja etabli des chambres
i Hist- dll diocese de Paris, t. IV, p. 215.
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