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rance de vegetation tres-remarquable (fig. 9 et 9 613W. Ltecole nor-
mande et angle-normande rencherit encore peut-etre sur Fecole bour-
guignonne : elle exagere Yornementation du crechet, comme elle
oxagelfe tous les details de l'architecture gothique arrivee ä son deve-
loppelncnt; mais, moins scrupuleuse dans son imitation de la flore,
elle ne sait pas conserver dans la sculpture d'ornement cette verve et
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cette xiariete qui charment dans la sculpture bourguignonne. Tous les
crochets anglo-normands du milieu du X1116 siecle se ressemblent; mal-
gre les efforts des sculpteurs pour leur donner du relief, un modelc
surprenant, ils paraissent confus, et, a distance, ne produisent, aucun
effet, ä cause du defaut de masse des tetes trop refouillees et de l'ex-
treme maigreur des tiges. Nous donnons (fig. 9 ter) un de ces crochets
angle-normands provenant de la cathedrale de Lincoln.
Cependant, peu a peu, les tetes de crochets tendaient a se modifier;
ces fGLIiÜGS, de PGCOUPÜÜBS, (Tünveloppees qu'elles etaient d'abord dans
une masse uniforme, se redressaient, poussaient pour ainsi dire, s'e-
Des fugades des äglises de Vzäzelay et de
Saint-Pers: sous Väzelay (xnv siücle).
IV. 52