L (JHENEAU ] 384
merlons et decochaient leurs traits ou carreaux par les longues fentes
des meurtrieres. Or, vers le milieu du xni" siecle, les armees assie-
geantes se faisaient accompagner de troupes tries-nombreuses diarchers
et dlzrbaletriers, qui, lorsqu'on attaquait leS remparts au moyen de la
ffff-X
IIIQIIAIÄLLK
g;
vffiffläx-
93-53,,
1-, m,
Mff
i]:
Ü
4
(loupes
F
fjflffffvjnwfffl;'w' 11111411, av,
inxxwxl gvjltlyr-flffmm L_ A x Hähvvr '11! Qgvywyw" Ni
0M" 414g: an; ML; "fla "A LW
Pv _1 21mm 41m1; mm A "MIE ffffffffvu f;
(m: ÜTJ ffgxgff s umaw
144441 wfw hlliiim" 1,11 u kgzzff-fffqlb sa; u"; m;
q [m JMIÄ ETI frfffffffmqäm 14
Kw-Ufflvf. m-WLI H ÄIQLLXJQA Qawwfbü au
uärq 71711114711Lül-UÜWIÄIÜIIIIIÄ lflhuvxxäääi lmzgm LLN; ÜUjd-iofzill mwuvnwg
s29 ggf; "fa: w-a "ff m mfwffw,
r 6A
Exlierrezu"
sape ou qu'on voulait les escalader, couvraient les crenelziges de pro-
jectiles, afin (Pempecher les assieges de se montrer. Les anciens cre-
neaux, avec leurs faces retournees a angle droit, faisaient ricocher les
traits, lesquels alors blessaient mäme les defenseurs caches derriere
les merlons. Les architectes, pour eviter cet inconvenient, clonnerent
aux creneaux des ebrasements exterieurs prononces, et prolilerent ces
ebrasements de facon a empecher les ricochets.