29ä 1 CONTRE-FORT i
pilier butant, d'une masse resis- v
tante. Mais dans les provinces ou 13
taient conservees, comme en Bour- vif
gogne, en Auvergne, dans le Poi- Lf"
tou, la Sainlonge et le Languedoc, il? l
jusqu'a la fin du X112 siecle, les fi, Ülfy U",
architectes cherchent a donner
d'une ordonnance romaine, c'est- fWl f
f
a due qu ils les composent d une q,
ou de plusieurs colonnes engagees, i
surmontees de leurs chapiteaux,
et portant Fenlahlement, reduit a
une simple tablette mouluree. il!
Nous voyons, a Pexterieur des zfliafqifi
chapelles ahsidales des eglises il
d'Auvergne, d'une partie de la
Guyenne,du bas Languedoc et du tu
Poitou, des contre-forts composes
(Papres ce systeme (voy. CHAPELLE,
fig. 27 et 33). En Bourgogne, sou-
vent. ces contre-forts colonnes se
terminent par un talus pose sur il
le chapiteau, ainsi que le fait voir iliif1illjia__
la figure 131. Quelquefois meme
les contre-forts du xne siecle, dans il
la haute Marne et le long de la W
Saone, affectent, sur leur face l Mm
zinterieure, la forme de pilastres il MEHHMÜI
romains canneles, avec chapiteaux f."
imites de l'ordre corinthien, j? a iüew
comme autour de l'abside de la f,
cathedrale de Langres. Les contre- w. il
forts des chapelles absidales de W m m)
Feglise Notre-Dame de Ghalons- 1 __i f "i-XQÄÄÄXL"
SLIP-Marne ne sont que des co- l if
lonnes engagees, cannelees, dont W gl;
les Chapiteaux POITGHt des sta-
tuettes couvertes de dais se ma- f lfläwläfäxxv
liant avec la 00rniche. (les tradi- s-if-w e Mlfeizf;
tions furent cornpletgment 1,eje_
tees par les artistes du xme siecle. WEÜUWESJ
Dans l'architecture de cette epgque, et lorsque l'art gdthique est
De Fobädience de
Saint-Jean
Bons-Hommes,
Dfäs
d'Avallon
Ancxmgacwunr: