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large cl, profond fosso a fond (le cuve. En G, un fosso moins profond,
mais beaucoup plus dtendu, contourne lc plateau surfexlrämitlo duquel
est assis le donjon; ce plateau nkälant pas de niveau, sa surface domine
le donjon on sbnfollganl dans la chaine crzyyfeuse; en G, on älzllälit (lUIIO
une molle factice sur laquelle (probablennerit) skleval une (lofense, dä-
truilo aujourd'hui. En let en H, les escarpements naturels (levaient
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Üler toute idee d'attaquer le plateau par ses coles. Nous ne pensons
pas que le fosse G et, l'escarpement. I aient jamais ete proleges par des
Inurailles, mais seulement par une levee de terre avecf palissades, car
il ne reste sur ves points nulle [race de mngornieries. Afin de faire
mieux comprendre encore Pnssielle du ohäteau de lu Roche-Guyon, et
comment, par des ouvrages considei-nliles, on etail. pin-venu a rendre
cette assioile encore plus forle, soil, BIl('fl1lillll21I1l, la colline, soit en fai-
snnl, (les lerrussemcnls, nous donnons (fig. U) un prolil de l'escarpe-
ment de craie avec les construclioils. En A est la Seine; en B, le chäteau.
m. il