on! pour hut principal (lenipeclier le 11161116111110 lu charpente. Le che- 
Vronnage es! nnini egalement de courbes sous lesquelles sont clones 
les bardeaux, ainsi qu'on le voil en H. Le sous-faite K et les entretoises 
L sont ifeunis par des croix de Sninl-Aindreä qui maintiennent les poin- 
Uons verticaux. 
(letle charpente, malgre le soin apporte dans les zissemlwlages, a 
[iousse au vide, el, connue nous l'avons dit plus haut, on a du, quel- 
ques annees apres sa construction, maintenir son  par des 
enlrzxils poses de deux en deux fermes : elle parait. (lillPP (les dernieres 
znnnies du XYe sieele. 
Nous donnons (fig. 34 ter) le (lelail des sablieres, (les blochels, des 
Sires et, pelils COÜVFC-jOlHlS rappel-les sur les bardeaux, il Pechelle de 
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Omvüä pour melre. Un remarquera: (fig. 311 bis) que les couilles dn che- 
Vronnage P viennent s'assembler dans des enlraits relvrousses, qui eux- 
Hlümes s'assemblent dans les entretoises R posees d'un poineon a l'au- 
ÜPG. Cela n'est guere llOH; mais on se fiait, avec assez de raison, aux 
bardeaux pour maintenir les (zourbos legeres du chewjronlläge, 005 bill" 
deaux formant comme une voüle qui offrait elle-moine une assez forte 
Pesistancea. Entre les chevrons, espaces de 0m45 environ d'axe 611 2010, 
Sont posees, sous la volige, des ehanlaltes destinees a lui donner une 
Plus grande solidite  
La salle principale de Fholel, de ville de SainL-Quentin nous laisse voir 
encore une charpente sans entraits, du commencement du XYle siecle, 
dont la disposition rappelle celle de Peglise de Hargnies. 
' Nous devons les dessins de cette charpente 51 M. Bruycrre, afchitcctcv 
flvcc soin et a bien voulu. nous communiquer ses notes. 
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