[ CLÜTUIgE ]  4M  
ct particuliälaenlent. dans le '1'_yr0l, qui a conserve la plupur 
des usages 
du Illüyffll ägo, des clotures (le chalups tros-indusLriouscnmnt lrznfuil- 
locs, solides, il l'aide des combinaisons les plus sinlples. 
  L"; 
x.Ä j 2 
xxf  
 ätx 
xxx " 1 "K 
"N.   ff WN-irz 
a y" W, XI; x  
x R  m  "fax 
x_-NX{   '   
_:k3x I"ÄK  f "X  MXK    .  
4-1!     äx- f   (2. 2;, 
  f hxxxvx Q Xx    E)   
vNN-fx Kfxkk xXx Wwx   _   
ixxx ükx-K NN KRNNNÄ K    
u.       '13.   
"NXXXX x    x.   
-x  'X xxxx   "w   
X 5x  X    i  A  
Qxv Q  _f xfiät-L"; Q X"  
 l" fi.  "k-  "x {S  p" 
   i 1,4? MÄ-f-Xä;  '  rf 
4x7  w 15x 11 f  wä  x-g,  k"  Äx 
 XX  x  V; Hfurix    Ä_     
_x       xiix; _x.x 1,3 fa, 
x "x   XX  sxkx N x xx x5 f "N Nu Qx x 
 Q Nxxx  I; VN  x 
x    
 w i   Q 
Les rois, (le riches seigneurs ou (les ahhes, les prieur-s, faisaient quel 
quefois (flore lcursjardins et leurs vergers de murs de pierre. Philippe- 
Auguste fil. a clorre, dit GOrrÜzetÜ le parc du bois de Vinrennes (le 
a hautes murailles, et y mit 1a sauvagine que le roy ifAngleteri-e luy 
a envoya n. Il nous est reste des fragments (le belles cletures de jar- 
dins däxhhayes. Ces CIÜÜIPRS sonthäties de pierre de mille, ziver (fi-hau- 
gucttes aux angles pour surveiller les flancs des murailles ; quelquefois 
f Antiq. 
de Paris,