463
:hcs et de buds (bmufs),
de lait ct (Yuüs (Ulllfs),
utres norrigous
Si con de vru"
De hrcbiz et
Dümcs ct (l'a
Du gclincs ct de chnpons.
Do ce i uvoit ix plentä.
Or aura-il sa volcntä
Rcnurt s'il puct cntrur dcdcnz;
Mes je cuit et croi par mes dans
Qu'il fora par de fors sejor,
Que clos estoit trestot cntor
Et li jardins et la mcsons
Di piox agus ct gros et Ions n
Les palissades se composaient, si Ton s'en rapporte aux vignetles
des manuscrits, de pieux aigus enfoncäs en terre, ä claire-voie, ifelies
entre eux par des branches souples 21 leur pied et pres du sonnnel,
ainsi que l'indique la ügure l.
11V ÄÄ f M
W 1! a 3a M1 1M I:
334
Les clayonnziges souvent tigures dans les manuscrits des XtVc et Xv"
siecleas paraissent elre executäs avec un soin particulier, formes sou-
vent de liois refendu (inairrziin) et de Manches d'arbres sentrelnqant
en losanges (fig. 2). De (listance en distance, (les branches A, prenant
pied 51 une certaine distance du clayonnage et sly reliant, Fetayent, et le
maintiennent. dans son plan vertical. D'autres clotures, plus simples,
se composent de perches posees horizontalement sur de petits che-
valets rustiques tres-adroiteinent combines, ainsi que llindique 1a
figure 2 bis. (les sortes de clotures etaient surtout employees pour
parquer les troupeaux; en enlevant les perches horizontales, les bäleä
fie trouvaient, libres. On rencontre encore dans les pays de montagneä,
' Le Ronmn du Re.
49.13 ct suiv.
VCFS