CLOITBE
reronslruiflirwn (les calluiflrules, ful, suivi par un grand nombre de mo-
nasliufes. La reeonslruelion (les eglises el illllmyOS exigeant, des sommes
(znorines, les (zdilices zmeiens furent (zonserviäs; mais les eloitres, con-
structions zissez legeres et exigeant des depenses comparativement
moins eensiflerahles, furentpresqile tous rehätis dans le gent nouveau.
A (lefaut de cloilres romans du Nord, nous irons chercher nos exemples
dans le Midi, (l'amant que les etahlissements monastiques, regis par
une ifegle commune independzmte de la nature du climat ou (les mate-
riaux, adoptaient en Occident des formes i: peu prirs identiques dans
leurs constructions ordinaires, quant a l'ensemble des dispositions,
sinon (lans les (letails de llarchitecture.
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Un des plus beaux vlollres du Midi est eerlaixxelllelll celui de Saint-
Trophime d'Arles. Deux des galeries de ce cloitrc (latent (lu commen-
Cefnent du xnc siecle; chacune d'elles se compose de trois tPHVäOS
PÜÜÜPÜICS, (livisees en quatre arcades porlees sur des colonnettes
JLIHIGÜOS. Voici (Hg. Il) le plan d'un des angles et d'une des traväes du