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centraux des oglises sont, ä (luier du xmesiocle, presque toujours mu- 
nies de clefs d'un grand diznnoiro, porcoos d'un trou large pour le pas- 
sage des cloches; mais ces clefs sont däcrilezs aux zu-ücles OEIL, YoUTE. 
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Sous les charpenles lzunlxrissdes conslrllilcs pendant les xwe, xve et 
xvle siücles, au point de la  des poingons avec les courbes 
et Pentrctoise supärieure, on zlttaxche des clefs sculpldes sur bois, 
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f0ru1ant, comme un opanfitiissvmout do lbuillzigos et (Fornements qui 
masque les assemblages des pii-vvs do (flnirpenti: au-dvssus du chapi- 
teau de 00s poingons. Gvs (ilCfS ne sont qu'un ornement sans utilitä. 
Päello, une bague docoupoo 51 la mm du poinqon; elles produisent un 
bon ellbt et contribuent il H16L1l)lPl' ces lambris en berceau, d'un aspect 
ilssez pauvre. Qufilqtwfois infime des vlofs df- liois (locoupü et sculptä 
Sont posoes ä la rencontre des {iliivres ou pannes longitudinales aivec 
198 courbes divisant. les lambris et servant, de couvre-joints. 
Nous reproduisons (fig. 25) une vlof de toto de poinoon, et (fig. 26) 
une clef masquant la rencontre d'une filioro avec une courbe. Ces 
derniäres clefs sont trbs-froquenles dans les charpentes angle-nor-