CLEF
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derniäre äglise (fig. 8), que les appareilleurs n'ont su comment faire
pänätrer les deux arcs croisäs. Ici la rosace däcorative ne couvrant pas
l'intersection des arcs, leurs doubles boudins se räträcissent en se
räunissant ä la clef. A la cathädrale de Senlis, les arcs ogives des voütes
des bas cotes n'etant composes que d'un seul boudin, la petitesse de
la rosace formant decoration ä la clef couvre ä peine l'intersection (le
ces boudins. Voici (fig. 9) une de ces clefs. Quelquefois, comme dans
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les voütes des bas cotes de Feglise de la Madeleine de Chäteaudun,
Pornement de la clef ne se compose que d'un entrelacs couvrant. la
rencontre des boudins (fig. 10).
Dans la partie de la cathedraile de Paris construite par Maurice de
Sully (1170 environ), les clefs des arcs ogives ne prescntent que des
rosaces peu saillantes ne debordant pas l'intersection des arcs ogives,
et leur decoralion ne consiste qu'en des plateaux dans lesquels sont