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CHAINE
vffet, dans la salle basse de la tour en face ; on passait une barre de fer
flans le dernier chainon, et, du (lehors, il nüätait plus possible de dätenclrv
la chaine. La figure 1 explique cette manoeuvre ÄLräs-simple.
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CHAINJE (DE PIERRE). Dans la hittisse, on designe par ehaines, des piles
formees d'assises de pierre ou de mate- 1 1;,
riaux resistants se reliant aux maconneries l
et ne presentant pas de saillies sur le nu des p
murs. On ne trouve que rarement ce pro- x
cede employe dans les constructions du far-f
moyen fige. Quand les murs sont de maQOn- w
nerie ordinaire, et qu'on veut les renforcer i? t7;
par des points d'appui espaces plus resis- LX ,E
tants, la chaine de pierre forme presque il lui
toujours une saillie exterieure, et prend L
alors le nom de contrefort. Cependant les wlkkm1lir-iyimi.mnlllllü
constructions rurales, militaires ou civiles, a
bäties avec econoniie, presentent quelque- y 7'
fois des chaines de pierre noyees dans les f- {fff
murs et ne portant pas une saillie ä l'ex- J" '91
terieur, mais formant un pilastre interieur A, l
pour porter une poutre, une charge quel- E f
conque. Alors, pour economiser les mate- N f]? l
riaux et pour eviter les evidements, ces 11"" 41,1 fa) {J
chaines sont appareillees et posees ainsi f
que l'indique la ligure 1 : les pierres A formant boutisse, lespierres B pare-