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CIIAINAGE
Les chainages de fer noyes dans la maoonncrieä demeure, et dont nous
avons parle plus haut, etaient, autant que l'es ressources des constructeurs
le permettaient, coules en plomb dans les scellcmcnts ou les rigoles qui
les renfermaient, quelquefois scelles simplement au morlier. Nous avons
vu aussi de ces chaines scellees Z1 leurs extrcmitos ct dans leur longueur
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au moyen diun mastic gras qui luarait ütre compose de gres pile, de
minium, de litharge et d'huile, ou dans un bain de resine. Les tirants
scelles par ce procede, dans des cdifiees de la fin du xmc siecle, se sont.
moins oxydes que ceux scelles au plomb ou au mortier. La presence du
plomb parait mcme avoir halte quelquefois la decomposition du fer, sur-
tout lorsque les chaines sont placees au coeur de la macjonnerie, loin des
parements.
Pendant le Xve sieele, les constructeurs ont prefere souvent placer leurs
chaines libres le long des murs, au-dessus des voütes, transversalement
ou longitudinalement. On avait dü reconnaitre dejä, 51 cette epoque, les
effets funestes que produisait lc fer noye dans la maconnerie par les
maitres des (ouvres des. xmeet XIVe siecles. Ces chaines libres sont ordinai-
rement composees de barres de fer carre de 2 51 6 metres de longueur,