BASE
aussi les bases sont-elles lrailees par les grands maitres des oeuvres du
X111" siecle avec un soin, un amour tout pax-Liculier. Si elles sont posees
tres-pres du sol et vues de haut en bas, leurs profils sllplatiront, leurs
moindres details se preteront äcettelaositiou (Hg. 36, A). Si,zu1 contraire,
elles portent des colonnes superieures, telles que celles des feuetres
hautes, des triforium, et si, par consequent, on ne peut les VOlP que de
W! S W W h fi.
if R
i W
ff ÜUIIU J. IIJHW-tf-ÜH
, U; X-vJLlllillulnl
L (1
f
7141.
bas en haut, leurs moulures, tores, scoties et listels prendront de la
hauteur (fig. 36, B),de rnaniere que, par l'effet de la perspective, les pro-
fils de ces bases inferieures et superieures laaraitront les memes. Cette
etude de l'effet des profils (les bases est bien evidente dans la nef de la
eatheflrale dülmiens, bütie d'un seul jet de1225 511235. Lä, plus les
bases se rapprochent (le la mute, plus leurs profils sont hauts, tout en
conservant exactement les nieines membres de moulures.
Depuis les premiers essais de l'architecture du XIIÜ siecle, dans les