BASE
äviler cet inconvänieul, les constructeurs du uhuuur du lacathC-d1u1lc de
Lnngres ont eu 1'ide'e de rdserver entre les deux colonnettesjumelles, sur
la plinthe, un renfort pris dans la hauteur (l'assise de la baseÜig. 19). Cela
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est fort iiigenieux, et ce principe est egaleinent applique aux chapiteaux
de ce tri Forium (voy. CHAPITEAU).
ll ressort deja de ces quelques exemples que
20 nous venons de donner, un l'ait remarquable :
c'est la propension croissante {lrQhltGCiÜS
du xne siecle a etablir des transitions entrela
' C W - a ligne verticale et 1a ligne horizontale, a nedia-
il: Jlllm mullüv" niais laisser porter brusquement la premiere
zlz-klfrfilfigilajijtnuaiü mhm n sur la seconde sans un intermeciiairexlilt peul.
" nous faire comprendre par une figure tflg. 20) :
J, soient A, A, deux assises horizontales d'une
h construction et B un point d'appui vertical;
13 "l les constructeurs ne laisseront jamais les an-
gles C, C, vides, mais ils les rempliront par des
11511435) renforts inclines D, D, des transitions qui sont
llll Jillil des epaulements, contre-forts, glacis, quand
fflgui l? on part de la ligne horizontale pour zirriver
il üwütiimiä:mmwuumW fi la ligne verticale; des encorbellements, quand
Äiiäinmmgäwllü]müiäiwfgylzgiläüyllfmnfiftälk'Pi] on part de la ligne verticale pour arriver 51
Il,figiiiiätllill55mtaxi;ziaillläiitwliäggliligwliiliilli lhorizontale. tout est logique dans l architec-
ililiilllllill1filialilllililllirinälfllllilllälllill une du miel fige, 21 date" de 1a grande 60016
du xne sieele, dans les ensembles comme dans
les moindres details: le principe qui conduisait les architectes a elever
sur la colonne cylindrique un chapiteau evase pour porter les membres