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filent comme une moitiä d'arc ogive ou Üarc-doubleau (fig. A3); ils ne prä-
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sentent que la saillie neeessaire pour recevoir la portee des remplissages
des voütes. Souvent, 51 partir du
änle siecle, ils traversent Fepaisseur .XIX Äilki 1'
u mur, forment arc de docharge et - X, H-"fmj
archivolteä llexterieunau-dessus des f"
meneaux des fenetres (fig. lib): Saint- l" v"
Denis, Troyes, Amiens, Beauvais, f" 3 u,
Saint-Ouen de Rouen, etc. Les
voütes des eglises de Bourgogne, W X 111W
bäties pendant le X1110 siecle, pre-
sentent une particularite remar- il 1' l [F5
quable: leurs formerets sont isoles ____lffl
des murs; ce sont des arcs inde- l U
bendantS, Portant les voütes et la l; la
charpente des combles. Les murs [lit f"-
alors ne sont plus que des clotures t X" l;
minces, sortes de cloisons percecs de l; l; x
fenetres et portant Yextremite des xi XW F]!
chenefulx au moyen d'un arc de de- l t"
charge (fig. A5). Cette disposition W l-
olfre beaucoup d'avanta es; elle l , L1
annule le fächeux effet desg inliltra- -
tions ätravers les cheneaux, qui ne - l
Peuvent plus alors salpetrer les tläl
murs, Puisque ces cheneaux sont lk. A
aeres par-dessous; elle permet de -x
contre-buter les voütes par des n lll lAl
contre-forts interieurs qui reportent
plus sürement la poussee sur les ares-boutants; 611e ü0nä1e toutes
I.