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(Hg. 37) : cathedrale d'Autun. La nef de Peglise de Vezelay, anterieure il
cette epoque, presente des ares-doubleaux pleins cintres; les voütes 50m en
arete, mais sans arcs ogives (fig. 38). Dans les edifiees civils du xne siecle,
les arcs-doubleaux sont ordinairement simples, quelquefois chanfreines
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seulement sur leurs aretes (Hg. 39); c'est vers la {in du XIIe siecle que
les arcs-doubleaux commencent ä se composer d'un faisceau de tores
separes par des gorges: cathedrale de Paris (Hg. 40); eglises de Saint-
Julien le Pauvre, Saint-Etienne de Gaen, de BayeHX, GÜC- Mais COmmB
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on peut l'observer ä la cathedrale de Paris, les arcs-douhleaux sont alors
minces, etroits, formes d'un seul rang de claveauX, lfayant P115 1102111-
coup plus de saillie ou düäpaisseur que les arcs ogives RVÜC lesquels leurs
proiils les confondent. Vers le milieu du XIIIc SiäClf-B, 105 afCS-ÜOUNOIIUX
prennent deux et merne quelquefois trois rangs C16 CHVGIHIX, et Ücflllif?"
rent ainsi une beaucoup plus grande resistance que les arcs ogives, les-
quels ne se composent jamais que d'un seul rang de claveaux. Les profils
de ces arcs se modifient alors et suivent les changements observes plus