ACCÜUDOIR 
plus tard 61165 Se dägagont, sonL plus accentuoes (Hg. 2); puis, au com- 
mencement du xvlc siiacle, prennent une grande importance (fig. 3), et ac- 
compagnent presque toujours les couronnemenls des portes, les arcatures; 
 2  "f"   
  N-Äfs-i  XNN"  NX  
lvzf ällf"   P; m, Eek o." ff   
 l illx-s -,T   1   
19;. gigiizft li  1  x    M1" 
         
 l  "IN 11' 44mm   wzill  
k l  es vl J   ww cm1 "ES -ef_ 
 11,05; ne MW-   l   ; 
 {miels-il  L2, UÜÄIA m "un Hxl vuiuln-gLj 
deoorent les sommets des lucarnes de pierre, se retrouvent dans les plus 
menusdetails des galerles, des balustrades, des pinacles, des clochetons. 
 Cette courbe se trouve appliquee 
 3 inclifferemment aux linteaux de 
 M2"; 5   pierre ou de bois, dans l'architecture 
 H, -l    
     
mp4 s _  
  ffhwf, 145.20  
Hg; 2' Ulzlfälli?  y 
     a]  ACCOUDOIR, s.m.G est le nomque 
1 5ÜYÜJSQQÜÜÄQX' lnnlyllxllllf  l'on donne Z1 la separation des stalles, 
 v. yyl;  L.    
   et qu1 permet aux personnes asslses 
 1- '  X11l1___ de s'accouder lorsque les misäricordes 
  Ml sont relewees (voy. STALLEs). Les ac- 
X {Lij MÄL coudoirs des stalles sont toujours 
  q m  elargls a leur extremite en forme de 
 "  spatule, pour permettre aux per- 
sonnes assises dans deux stalles VOlSlllüS de äaccouder sans se gener 
     12V  
  _  'l  
 Üffff-Jfh  7M. Wlf 
" i? lÜffuf WÄÄM.  v L). M m!" 
fffgäifff wfix 
fpf-"fysf {MM   
fffäfä-f W! up,  (M ÄIKVF 
gläjgzfffl  M,     1' W  
4 ff  W x 111. i si"  f 
      
 g a Wvffii" IWH" 
IJÜ)IIIÄÄIJ{JILÄÄLW,,. l] t t6 mpar 
xi:   'en su or s, s01 
räciproquement (fig. l). Les accoud01f5 50m 50m pp