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iiiiirmerie, pour les vieillards incapables de se liyfreiianxiravaux-actifs, 
et les malades. Une enceinte enveloppait tous les batiments, les jardins et 
cours d'eau destines a leur arrosage. On voit qu'ici l'article de la constitu- 
tion de l'ordre concernant la disposition-des batiments etait scrupuleuse- 
ment execute. Sur Feglise, une seule flecflie, de modeste apparence, elcvee 
au centre du transsept, suffisait au petit nombre de cloches necessaires 
au monastere_;.mais a Citeaux l'abside evpait terminee carrement, et_ en 
cela le chmur de Feglise de Clairvaux, ban pendanl; la seconde moitie du 
xne siecle, diiierait de l'abbaye merc.     
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L'abbaye de Pontigny, fondee en MM, un an avant celle de Clairvaux, 
dans une vallee du diocäse cYAuXerre, jusqu'alors inculte et deserte, parait 
zivoiradopte la seconde, vers la Ha du X110 sieele, dans le plan de son eghse, 
une abside avec cha elles carrees ra onnaÄntesÄfoici fiff. 8 1e plan de cette 
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abbaye. De moine qu'a Glairvaux et qu'a (liteaux, le traussept possede qua- 
tre eha ielles cari-des. Lüifflise A est reeädee d'un aorche bas, s ouvrant sur 
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le dehors par une suite d'arcades. Ici le grand eloitreb est situe au nord de 
Yäglise, mais cette disposition peut s'expliquer par la SÜUZIUOII du terrain. l! 
fallait que les services du monastere fussent, conformemcnt aux usages de 
(liteaux, a proximite de la petite riviere qui coule de l'est a llouest, et Yäglise 
aepouyaitretre batie sur la rive droite: de qeeours dffäiaiu, parce que cette)