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formes, se compose des memes membres de moulures, repäte leurs
compartiments (fig. 12). Ce n'est plus 611 realitä que la partie infe-
rieure de la fenetre qui est bouchee, et, par le fait, le mur, dont le
parement interieur est au nu des vitraux, laisse la moitie des me-
neaux se dägager en bas-relief, et ne conserve plus qu'une faible epais-
seur qui equivant ä une simple cloison. Il etait impossible d'aller plus
loin. Pendant les xlve et xve siecles, les arcatures basses conservent les
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11113511105 2111111135, ne variant que dans les dälails de Pornementation suis
Nülllf, le goüt du moment. On les voit disparaitre tout a coup vers le mi-
lieu du xve sieclc, et cela slexplique par l'usage alors adopte de garnir
les soubassements des chapelles de boiseries plus ou moins riches. Avec
les arcatures, disparaissent egalement les bancs de piflffe, CÜIIX-Oi Ütänl
il plus forte raison remplaces par des bancs de bois. Des moeurs plus raf-
tinees, l'habitude prise par des familles riches et puissantes ou par les
confreries de fonder des chapelles speciales pour assister au service divin,
faisaient que l'on preferait les panneaux de bois et des sieges bien secs
a ces bancs froids et humides.
Nous ne pouvons omettre, parmi les arcatures de rez-fle-chaussee, les
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