ARCATURE
dans la sainte Chapelle basse du Palais 51 Paris. Jusqu'alors, cependant,
les arcatures basses,_ qu'elles appartiennent a un monument riche ou
a une eglise de petite ville, sont a peu de chose pres semblables. Mais
vers 12115, au moment ou l'architecture ogivale arrivait a son apogee,
les arcatures, dans les ediüces batis avec luxe, prennent une plus grande
il former sous les fenetres une splendide decoration, en laissant toujours
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voir le nu des murs dans les entre-colonnements; ces murs eux-memes
reqoivent de la peinture, des applications de gaufrures ou de verres colo-
res et dores. La sainte Chapelle haute du Palais a Paris nous ollre le plus
bel exemple que l'on puisse donner dlune serie (Yarcatures ainsi traitees
(fig. 8). Alors, dans les eclifices religieux, le parti adopte par les construo-
leurs ne laissait voir de murs que sous les appuis des fenetres des bas
cotes; toute la construction se bornant a des piles et des vides garnis de
verrieres, on coneoit qu'il eut me desagreable de rencontrer sous les
verrieres des bas cotes, a la hauteur de l'oeil, des parties lisses qui eussent
me en desaccord complet avec le systeme general de piles et dia-jour
adopte par les architectes. Ces arcatures servaient de transition entre le
sol et les mencaux des fenetres, en conservant cependant, par la fepmetä