[ ARCATURE ] 90
choisirons comme exemple Farcature des bas cotes de Feglise abbatiale
de Souvigny (Allier) (fig. 2), reposant toujours sur un banc, conformement
ä l'usage adopte. Dans ces arcatures, la base, le chapiteau et les claveaux
des petits arcs sont engages dans la magonnerie du mur, et les füts des
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colonnettes, composes d'un seul morceau de pierre pose en dolit, sont
detaches. A Souvigny, les arcs reposent alternativement sur un pilastre
rectangulaire et sur une colonnette cylindrique.
Cet exemple remonte aux premieres annees du X110 siecle. A mesure que
l'architecture se debarrasse des formes quelque peu lourdes de llipoque
romane, les aventures basses deviennent plus fines, les arcs se deeorent
de moulures, les colonnettes sont plus sveltes. Dans le bas cote sud
de Fäglise Sainte-Madeleine de Chäteaudun, on voit encore les restes
d'une belle arcature du xne sieclc, qui Sert de. transition entre le style