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maconnant, on avait besoin d'arcs de decharge, on cherchait {i les accu- 
ser, soit par une saillie, et merne quelquefois pai- un Iilet orne ou mou-- 
lure ä l'extrados. Tels sont les arcs de decharge qui se voient le long du 
Fziur äilgs bascotes de Pegliie Saiigit-lijtignne tle Neäers (fin pu xiflsiemille) 
ig.  ci ces arcs son sur ou es mes ü ciarger es pi es es- 
, ,  [ ,_4  74 bas cotes qui reqoivent les- 
      r f    
   
       
   i L  contre-forts,ce surcroit de 
 FA!  [mllmijiiflil la; xQf-Ä,  charge donne aux points- 
j  d'appui principaux une 
  X"  grande stabilite. C'est uii 
1s? l f f   lf Systeme qui permet d'ele- 
X w A jillllllwli.llllllllllllllllllllllllllliiulflikwwim1 n: JTJVX Ver (pas mur? minces 61m? 
f,        lllllltimm  lespiles destineesarecevoir 
  "la   lepoids des constructions; 
if,-   :-Wlll'  il presente par consequent 
    L" une economie de mate-i 
  riaux : on le voit applique 
Il _    t1 dansbeaucoup (feghsegdu 
 s" liHl  .4;    
"F fi; llillell V_j_l_l_ POHOH,  
_  V   [MIL vergne et de la Saintongc 
fig   pendantlaperioderomane, 
  .1. 1   Inutile d'ajouter que ces- 
 lxlv T__l  fÄl-r "i" .1- arcs de decharge sont tou- 
ll .1   
1'   l _]0l1I'S cxtradosses; puisque 
leur fonction essentielle est _de ifeporter les charges supcrieures sur leurs- 
sommiers, 1lS doivent tendre a faire glisser les IIIHQOHDBPlQS sur leurs reins. 
,Le pignon du transsept sud de lleglise Notre-Dame du Port,ä Clermont 
(Puy-de-Düme), est ainsi porte sur deux arcs de decharge E1 Yexterieur, 
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reposant sur une colonne (Hg. 75). Souvent, dans Farehitecture civile de:- 
XI" et XIIe siecles, on rencontre des portes dont les linteaux sont Soulages par 
des ares de deeharge venant appuyer leurs sommiers sur une porte? mena-