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est toujours dispose connne dans les exemples precedents, pour 
permettre 51 l'l1o1nn1e d'armes de sure-bouter sur le bord superieur. 
lfliabillernent de lete du cheval est ici complet, avec nluserolle et 
courroie supplezult la gourmette. Une sorte de chaperon protege 
le dessus de l'encolure derriere les (lPCillOS. 
Mais nous ne devons pas aller plus avant, sans revenir sur les 
freins, qui ont une si grande importance et dont la forme se mo- 
difie prolondelnent vers la lin du xlv" siecle. Alors (fig. 23  la 
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ligne du banquet ef est droite (les branches etant inonlrees a llin- 
terreur en A). Les talons et le canon sont compliques, et se corn- 
posent, de chaque cote, de quatre molettes tournant sur un axe et 
d'un rouleau tournant au-dessous, sur un second axe. Ces deux 
axes sont fixes 51 deux rouleaux, a droite et a gauche, qui tournent 
Sur des axes suivant la ligne et dans l'arc du banquet. lls Se chan- 
Iournent de telle sorte que le point a appuie sur la racine de la 
langue du cheval. Le pas-dälne a est aussi muni de molettes, pour 
que la langue de la bete puisse se mouvoir sans diftieulte. Les renes 
sont attachees a Pextremlte des branches en e (voyez en  Quand 
le cavalier appuie sur l'une de ces renes, l'action se fait sentir sur 
les talons a molettes, mais aussi sur le point a. Les cotes de tetiere 
Cullect. 
W. H. Rigäs 
le M.