Volltext: Dictionnaire raisonné du mobilier français de l'époque Carlovingienne à la Renaissance (T. 6)

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train de derriere; puis, pour fournir des coups d'epee ou de masse, 
il falllait que le bras etendu du cavalier degageäit la teliere. 
Le cavalier, are-boute sur le bord de sa bäte de troussequin 
(fig. M), se dressait sur les elriers, les jambes presque verticales, 
afin de donner au haut du corps toute la somme de resislanee 
possible au choc. Les etrivieres etant attachees en c, Fetrier arrivail; 
alors on v, lorsque l'appui du cavalier (itait en a, pour charger" a la 
14. n 
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lance. Mais quand le cavalier s'asseyant en selle, le seant a descendait, 
en b; alors les jambes devaient se porter fort en avant, jusqu'en d, 
ou former lltngle bfe, ce qui est une mauvaise position. L,ÜCLlj'8l' 
assis, les jambes suivant la ligne bfd, le corps prenait la direction 
verticale (10, et tout son poids portait en b. Si Pecuycr chargeait 
On se dressant sur les etriers, le poids du corps se rapprochait 
du point c, et ajoutait ainsi a la force d'impulsion du cheval, en 
(lechargfeant (llautant. le train de derriere. Les courroies de poitrail 
et de croupiere tendaient toutes deux au point de reunion la, au 
droit des rognons, pour eviter la bascule de la selle par l'effet du 
choc sur Peeu ou la poitrine du cavalier. 
La figure M 611W montre en effet le cavalier assis, les jambeS 
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le Villard de Honnecoury 
(1250 environ).
	        
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