SURUOT
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dheier. Ciesl sous le regne de Philippe de Yulois que Yonvoit
adopter le surcot, (Vannes, qui remplace la colle Hottunle Lies x11"
et X111" siecles, et du commeneeinenl, du xIv".
Ces surcots etaienl, habituellement reinbourrais sur la poitrine el
les dpaules, el, formaienL comme un välement mutelassü, ives-ajuste,
sur le eorsolet de fer ou sur 1e gambison. Le surcot eluit lzuse par
derriele, sur les cotes, ou lmr devant, et ne Lleseenilzlil pas beau-
coup Llll-ÜCSSOLIS des hanches. l] elait fait de soie, et parfois brode
aux armes du personnage qui Yendossail. Le sureoL,habituellement
sans manches, laisse voir Vhuhillemenl de fer des bras. Les gentils-
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hommes ulluchuient 11 sujupe courte, de "l 3110 ai 115W, la ceinture;
militaire (Vorfcxirerie. Cilllilll. un vetement pratique, elegctnl, et qui
ne genaiit pas les mouvements; il persiste jusqului 12011111115114561110111
du xv" sieele. Plus tard on donne encore le nom de suriifot. tlhirmfvs
51 un vetemenl, (Vetoffti pose sur l'armure; mais ("B (lPl'I1ll3l' survol
se rapproche plulot de la cotte.
Le veritable sureot d'armes est collant, bombe sur lat poitrine,
et avait pour ellet de neutraliser llaction des rayons solaires sur lc
corselet d'acier ou le haubert, dblnpecher le cliquetis cause parle choc
des brassards sur le plastron, et cfopposer un matelassage aux chocs
des masses et (les cpees. Etant habituellement, armoyc, il permettait,
dans une melee, de reconnaitre les chevaliers bannercts qui condui-
saient un certain nombre de cavaliers au combat et (levaient pouvoir
les rallier au besoin.