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de Fexeinpli; precetlent, et le qlirnlre de Uüllll) derniere spzilliere,
etaient evidemment destines fl donner une {grande resistanife ä cette
partie de l'armure; mais toutes ces tentatives nexdonnaient pas
(le resultats Mes-pratiques. Il y avait toujours solution tres-appa-
rente entre le eorselet et lu spulliere, et, par StlllC, chance de
blessure grave. Le plastron de 1er du dernier exemple est reeou-
rerl, d'un ornement rive qui avait pour elTel comme le treillis
des manteaux (Farines, plus tard cllirretei' le fer de lance et de
de glisser laterzilemeill. (je plastron est borde au collet
(Tun leston de cuir et recouvre un ganlbison de peau piquce, prote-
geanl, le cou sous la salade. Dejii cependant on fabriquait des ilFlIlUPCS
de plates dont les spalliifres laisaient corps avec le plastron (voyez
Aienunu, pl. lI, cl, Bnixssann, fig". ä), mais ces defenses ne seniblaienL
pas assez resistanles, elv, comme nous le disions tout a I7IILIVLIIIU'
elaicnl, facilement laussücis par un bon coup de masse. Il semble
fionc que, pour ne laisser aucun (lelaut r-L presenler une puissante
rcsislaulcc- aux chocs, on ait renonce pendant. un reiiain temps aux
lourdes spallieres de fer que nous venons de et aux spal-
lieres plus legeres, mais ÜPUUSIIIII mieux la forme de llipaulc, pour
adopter les spallieres ivonsLruiles (,'()l1'll1lC läitaicnf, les bl-jgantines,
Niatlaufliainl sous le corselcl. 51 un gainbison.
La Iigure 10 1 IHOHIFC une de (tes spullieres,
iaourree au droit de la Lote de Fhurnerus, el, tenninee 51 sa partie
mferieure par des lames d'acier sur une epaisse garniture de peau
lscrit.
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M ü m c