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SPALLI 111m;
Toutefois le diäihul de Fäpaulc mit fort mal prdservü. On essuya
donc, {i la mäme iäpoque, de river les spallibrcs au surcot d'armes
(iig. 21), de tulle sorte (1110 ces spallibrcs faisaient partie du vÜLc-
ment; puis on riva librement, au moyen du bouts de cuir, des
lames de l'or au bord de la spalliürc. (les lames SU rccouvruient et
[iendziient mobiles, alin du laisser au bras son mouxfcmcnl. Le clüfuul
de Füpalulc dtuil ainsi mieux prC-scrxfü; mais Vuissiflla: ne iiÜlvllil. poinl,
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cl. cfelait toujours il llaisslzlll: que lion adressait les coups LYOSLOU.
On zijoula donc une rondelle el l'on arlicula les spallieres (fig. 32).
(lotte spalliere est composer: de Lrois pieces, la dorniere recouxfrant
le canon del"a1'riere-hras. Elle est altachee par une boucle S1 lälpaulo
du surcol d'armes, et a la courroie R, rivüe en b, on fixait la rondelle
A, laquelle porlail. en (ledansi une pelile hoiuzle, Colle rondelle
lo1nbait ziinsi llollzmle devant llziisselle. (lel. aillirail nlelxail; pas tres-
preservatif, toutes 0435 pievos Citant, trop mobiles. Il l'au! observer le
collier de fer dore que porte cet lionnne dlarmes, sorte de torlil qui
cachait l'encolure du sureol relhnnes.
On tatonnail. toujours, el l'on passait dlun moyen a lliillre sans
trouver 131111111111 eonvenable- cette parlie du corps. Vers la lin du
1 18161110 manuscrit.
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131511111
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