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SOLERET
Le lmrnois blanc, l'habillement de plaies, etail alors un vetlemenl
de guerre si dispendieux, qifon essayait de tous les moyens pour
LillT1jfll1Gl' la diflieillte de celte fabrication.
Ces tentatives ne paraissent guerc, toutefois, avoir ilepasse les
premieres annees du xve siecle, et l'on en vint enHn ä adopter les
solerets qui se lient au harnois de jambes (voy. GRiJVEs, fig. 7 et. 8).
"CÜN
Les solerets {i poulaines eurent, la rogue du commencement du
KV" siecle 51111110 environ. Si l'homme {larmes Vülllilll" marcher, les
longues poulaines pouvaient, s'enlevei' facilement.
Cet appendice Ifarnil. (FIIUIIG zivantagc que de maintenir parlhitil-
ment le pied (lüHS Felrier. Le poids et la courbure de la poulainc
formaient crochet nnlerieur, qui empecliuit la semelle de glisser en
cas de choc violenf eL de quitter lletrier.
La figure 5 montre un de ces luefaux solerets de 11130 fi 4111110. Les
gfreves descendent jusqifii la semelle et mainliennenl. le soleret,
qui est independnnt, au moyen du bouton ä ressorti a. Ainsi le pied