RONDELLE
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Fempächuit de glisser sous la targc, CCÜO-lf-i venant mordre quclqu
peu sur cette Cwchancrurc. (Voyez JOUTE, p]. LV et Iig. 16.)
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Notre cavalerie se servit peu, dans les combats, de ces rondelles,
tant que l'habillement de fer" specialement ilestine aux joules nlin-
llua pas sur les formes et les dispositions du lIüHIOlS (le guerre.
A dater de lu lin du xive siecle, la passion des joutes et tournois fut
telle que la chevalerie pretendit transporter dans le combat les armes
defensives des tournois et joules. C'est ainsi qu'elle SlCITllHiITüSSH de
(luantites (le pieces (Farmiu-e plus genanles qifutiles en bataille.
Les grandes rondelles sont, de ces luieces, une des plus encom-
brantes. La lance rompue, il fallait jeter cette garde d'acier ou lu
passer 51 Pecuyer, si l'on en avait le loisir. En France, ces accessoires
furent presque, toujours mis de (foie en bataille, lundis que la cuvai-
lOl'lUillll3lTl21I1(lC leur {Hftjiüftlillt (le plus en plus d'importance.
On tlonnuit eueore- le nom de ruuclles 51 ces ilisipurs que l'on posait
tlevuut les epuules pour les IIlSSUllUS, ou sur le cote (les
eubitieres et genouilleres. (Voyez AIGUILLIFPFIJ, ÄILETTE, ARMURE,
GUBITIERE.)