HAUBERT
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lres-etroites et alors independantes du hauhert, si les bras etaienll
armes de plates.
La collection de M. W. H. Riggs nous fournit encore un de ces
hauberts-jaques (fig. M), qui conserve ses garnitunfes. Le col du
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haubert. est composä (le mailles cxträmement fines et scrnies (voy.
en A). Les maillons du corps sont plus larges, mais admirablemcnl.
llaits. Uquverturc du col, sur la poitrine, est (loubldc dWitoffe, illflSl
que Pentournurc et les poignets des manches. Celles-ci slattachenl
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autour des aisselles par deux fortes ganses, et llepaule, ouverte de a
en b, vient recouvrir la partie c sous les spallieres d'acier. Ces hau-
berts-jaques ne descendaient qu'un peu au-dessous des hanches,
afin de laisser aux jambes du cavalier toute leur liberte. Mais alors
il fallait. garantir le bas-ventre sur la selle. On portail, ii cet effet,
des braguettes de mailles ires-Iincs et plates; La figure 1.2 donne