EREVES 
486 
genouilleres avec plates de recouvrement. (fig. 5 ').Ges grevestlevaienl 
etre assez elastiques pour permettre d'y introduire le pied, car leurs 
bords se rapprochent sensiblement ail-dessus de la cheville. Celle-ci 
est couverte par le fer, ce qui n'a pas lieu dans les exemples prece- 
5' 
x fff 
X   
 2;?  
l, MW,  
JXÄWIÜÜ;  7 
   
M "n-"käziäjqpxä 
yvlvllwf! 
 4 ffsfäägfiäx 
wgä e; 
 1  X  
 
 Xz- 5 
s P.- 
 f q; 
g;  
  
fil   
  9 a 
  5  
gai   
 g Bf k 
   luÜLkxfq 
 _t' 
  f? 
L1  
 "rr  
 , f", 
    wq, 31194". (Z7 
 .,v1zl,_xl4a_;, q, W  
u, mmnflfffffziffqfffgäffgnpwgfz 
dents. Une courroie faisant sous-pied empechele vacillement du bas 
des greves, qui ne sont maintenues a la jambe que par 11ne courroie 
houclee au jarret. Les genouilleres n'ont pas d'ailerons et elaient 
recouvertes par la cotte d'armes. 
On songea bientot a preserver aussi le mollet par une plate de fer. 
Les greves alors furent faites de deux pieces avec eharnieres et loque- 
teaux (fig. 62). C'est une bande de peau qui couvre la jour-lion des 
greves avec la genouillexte. 
1 Statue d'un prince inconnu, Gglise de Saint-Denis (premiäres annäes du xlve sibcle), 
2 Statue de Judas Nlnchabfic, nhätoan de Pierrefonds (fin du XIVÜ siücle).