ETmEn
larges, soudees 51 la lele, il la bielle de suspension et rivees ä une
doublure KlÜCOUDÜC recouverte d'un animal cisele. La semelle est elle-
meme rivee E1 la partie inferieure des bandes forment arcade protec-
trices du eou-de-pieal.
, s
On
.1 1
w lb M4:
(I? fwva
lJ äxgxx-i NQQRKXX
Plus tard, vers 1430, on reprit les etriers a arcades circulaires
(Hg. 61), et l'on adopta parfois les bielles mobiles pour que les etri-
vieres pussent se tourner autour de la jambe, suivant les mouve-
ments de celle-ci. Ces sortes (Fetriers sont representes frequemmcnt
sur les vignettes des manuscrits de cette epoque. Celui que presente
la figure 6 est de fer, delicatement forge. La semelle, composee
d'une bande ovale-allongee, est recouverte de deux bandes plates,
paralleles, qui sont rivees aux extremites inferieures de l'arcade.
En A, est tracee la semelle vue par-dessus. Parfois ces arcades
etaient chantournees, ainsi que nous l'avons vu preeedemment,
pour faire que Tetrier laisse libre et prenant son centre de gra-
vite, elevat le bord de la semelle afin d'empocher Pextremite du
pied du cavalier de glisser (fig. 72). Suspendue librement, Pextre-
mite a de la semelle se projetait en m. Les solerets minces et longs
etant remplaces, a la fin du xve siecle, par des solerets larges du
bout, il fallait ouvrir l'arcade des elriers. Ceux-ci devinrent alors
(lulluctiun de M. W
De la mf-mc collovtil
r'
lhfäää